Paul Verlaine -Même quand tu ne bandes pas- |
dimanche, mai 16, 2004 |
Même quand tu ne bandes pas... Paul Verlaine (1844-1896)
Même quand tu ne bandes pas, Ta queue encor fait mes délices Qui pend, blanc d'or entre tes cuisses, Sur tes roustons, sombres appas.
- Couilles de mon amant, sœur fières A la riche peau de chagrin D'un brun et rose et purpurin, Couilles farceuses et guerrières,
Et dont la gauche balle un peu, Tout petit peu plus que l'autre D'un air roublard et bon apôtre A quelles donc fins, nom de Dieu?-
Elle est dodue, ta quéquette Et velouté, du pubis Au prépuce fermant le pis, Aux trois quarts d'une rose crête.
Elle se renfle un brin au bout Et dessine sous la peau douce Le gland gros comme un demi-pouce Montrant ses lèvres justes au bout
Après que je l'aurai baisée En tout amour reconnaissant, Laisse ma main la caressant, La saisir d'une prise osée,
Pour soudain la décalotter, En sorte que, violet tendre, Le gland joyeux, sans plus attendre, Splendidement vient éclater;
Et puis elle, en bonne bougresse Accélère le mouvement Et Jean-nu-tête en un moment De se remettre à la redresse.
Tu bandes! c'est ce que voulaient Ma bouche et mon cul!/con Une simple douce, peut-être? C'est ce que mes dix doigts voulaient.
Cependant le vit, mon idole, Tend pour le rite et pour le cul -Te, à mes mains, ma bouche et mon cul Sa forme adorable d'idole.
Aunque no esté parada...
Aunque no esté parada lo mismo me deleita tu pija que cuelga -oro pálido- entre tus muslos y sobre tus huevos, esplendores sombríos,
semejantes a fieles hermanos de piel áspera, matizada de marrón, rosado y purpurino: tus mellizos burlones y aguerridos
de los cuales el izquierdo, algo suelto, es más pequeño que el otro, y adopta un aire simulador, nunca sabré por qué motivo.
Es gorda tu picha y aterciopelada del pubis al prepucio que en su prisión encierra la mayor parte de su cresta rosada.
Si se infla levemente, en su extremo grueso como medio pulgar el glande se dibuja bajo la delicada piel, y allí muestra sus labios. Una vez que la haya besado con amoroso reconocimiento, deja mi mano acariciarla, sujetarla, y de pronto
con osada premura descabezarla para que de ese modo -tierna violeta- el lujoso glande, sin esperar ya más, resplandezca magnífico;
y que luego, descontrolada, la mano acelere el movimiento hasta que al fin el "peladito" se incorpore muy rígido.
Ya está erguido, eso anhelaba ¿mi culo o concha? Elige dueño mío. ¿Quizás una simple paja? Eso era lo que mis dedos querían...
Sin embargo, la sacrosanta pija dispone de mis manos, mi boca y mi culo para el ritual y el culto a su forma adorable de ídolo.Libellés : Paul Verlaine |
posted by Alfil @ 9:31 AM |
|
|